>l’art_évolution, Sanary, dernière.

Pourquoi fallait-il être à Sanary samedi dernier?

D’abord pour jouer avec les reflets dans l’eau…

(Alors, oui, dans le port de Sanary, il y a des canards…)

Mais surtout, samedi, à Sanary, il y avait le dernier vernissage de >l’art_évolution.

J’ai trouvé ça un peu plus fouillis que la première fois, mais ravie de voir de nouvelles oeuvres…

…et quelques unes déjà repérées lors de ma visite précédente:

Je ne sais pas pourquoi moi, l’hypersensible de la cause animale, celle qui tourne la tête devant sa télé quand le guépard rejoint l’antilope (ça marche aussi quand le serpent gobe la souris ou quand la lionne agrippe l’éléphanteau…), celle qui ne mange pas d’animal à capital sympathique (j’y reviendrai), BREF, je ne sais pas pourquoi cet oiseau-demoiselle m’attire tant.
Pour vous dire, elle a été placée au dernier étage de l’espace Saint Nazaire et, jusqu’au dernier moment, je craignais qu’elle ne soit plus là, je n’ai pas traîné devant les œuvres de Trufaut, Tocco et consorts, rien que pour Elle. Demoiselle gracile, porte-parole des anéantis, danseuse des non-dits, portant en son jupon la mort et la vie. On m’a dit « on a l’impression qu’elle va nous envelopper de sa robe », j’aime bien l’idée. Le voile protecteur, et peu importe ce qui se trame à l’intérieur…

En live, le travail d’Mline.

La soirée s’est terminée sur une tombola. J’ai d’ailleurs gagné un poulpe de Tomax, offert de suite à mon oncle, histoire de faire voyager l’animal.

Il vous reste cette semaine pour aller découvrir les artistes Autochtones réunis à l’espace Saint Nazaire.

Je ne pouvais pas terminer cet article sans vous parler du très bon repas qui a suivi, au restaurant La Rencontre, je vous laisse saliver sur le dessert:

Je vous conseille cet endroit pour trois raisons: les délicieux plats de la chef Laëtitia, l’accueil et les bons conseils de Sébastien, et l’atmosphère chaleureuse du lieu… mais je vous laisse la surprise, car il y en a une, vous verrez.